Malheur bonjour, bonheur parti
Le désespoir est infini
Les jours se suivent et se répètent
Temps d'opulence sont révolus
Idiocratie vient annoncer
La fin d'une ère, nos tombes creusées
Les jours radieux ne seront plus
La rage au ventre, aucun espoir
Les heures qui passent nos vies enterrent
Tel bête en cage, manège funèbre
Journées passées broyant du noir
Futile maintenant de frétiller
Car condamné ce sale caillou
Je suis conscient, je vous l'avoue
Nous guette la mort sans sourciller
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